René Angélil était le manager de Céline Dion avant leur mariage. À première vue, ce type semble être tout à fait agréable et plein de bonne humeur. Si quelqu’un osait le contrarier, lui ou sa femme Céline, René possédait un bras assez long pour leur faire peur.

L’édition du magazine Gala de cette semaine, en kiosque ce jeudi 10 novembre, présente une image insolite de René Angélil, le seul homme (ou presque) que Céline Dion n’ait jamais connu. Sous la houlette de Thérèse Tanguay, la mère de la chanteuse, le producteur est passé de manager à confident, puis à amant, et enfin à mari. Malgré une différence d’âge de vingt-six ans, leur amour les a aidés à surmonter le scepticisme des autres et à démontrer le sérieux de leurs sentiments l’un pour l’autre.

René Angélil était prêt à tout faire, même le pire, pour Céline Dion, que ce soit par amour ou pour sa carrière. C’est une chose qui a marqué Nathalie Jean toutes ces années. La jeune femme de 23 ans a été la première personne à être chargée d’écrire la biographie de la chanteuse. Elle raconte à Gala : « Il n’y a pas eu d’épiphanie ». De délicieuses rumeurs circulaient sur Céline et René de la part de certaines personnes notables, mais je ne voulais pas répandre de rumeurs. Mon éditeur m’a contacté alors que le livre était déjà produit pour m’informer : « Tout est arrêté, il se passe quelque chose avec René Angélil. » »

Oubliez ça, Angélil va vous brûler.

Une consultation a été fixée peu de temps après, au cours de laquelle elle a reçu de nombreuses explications et une pression intense. Mon manuscrit a été jeté avec le reste de leur camelote. Puis ils ont ajouté : « Comme nous sommes trop courtois, nous vous donnons de l’argent, mais sachez que nous ne sommes pas obligés de le faire. » […] J’ai demandé conseil à des personnes proches de l’industrie de la création. Tous m’ont prévenu qu’Angelil serait mauvais pour ma carrière car il avait le bras trop long. J’ai signé un accord de non-divulgation qui m’interdisait de parler publiquement du contenu du livre jusqu’en l’an 2000. »

Pour de bonnes raisons, ce dernier était surnommé « le Parrain » dans les journaux de l’époque. Une présence imposante qui détonne avec l’image publique traditionnellement chaleureuse du producteur. Hervé Tropéa, co-auteur de Céline Dion, la vraie histoire de Robert Laffont, déclare : « Je ne connaissais que l’image publique de René Angélil.

Pour connaître toute l’histoire, procurez-vous le numéro du 10 novembre 2022 du magazine Gala.