Ce soir, TF1 diffusera un épisode inédit de l’émission I3P, qui mettra en scène Marc Lavoine et Barbara Schulz. Et une fois de plus, la prestation de l’acteur et de la chanteuse provoque un clivage entre les spectateurs. Ce dernier se déchirerait.

Selon Télé Loisirs, les deux premiers épisodes ont fédéré un total de 3,8 millions de téléspectateurs pour le premier épisode et 2,9 millions (18,4%) de téléspectateurs pour le second épisode.

Mais cela ne convainc pas tous les fans, comme en témoigne le fait que certains d’entre eux ne retiennent pas leurs critiques sur Twitter.

« Cette série, qui met en scène Barbara et Marc Lavoine, qui ne parle pas vraiment d’alchimie et qui ne met en scène ni Raphaël Balthazar ni Helen Bach, est loin d’être aussi mauvaise qu’on pourrait le croire.

Et le jeu des acteurs laisse à désirer », « I3P n’est pas mauvais mais Marc Lavoine devrait se calmer un peu avec toutes ses mimiques », « Et le jeu des acteurs laisse à désirer ». Un tout petit peu peut aller très loin « . Un autre internaute reproche à Marc Lavoine d’être contradictoire.

 » Cette émission, qui est diffusée sur TF1. C’est une signature de Jean-Luc Reichmann que je vois sur le scénario, ou quoi ? « . Les interprètes ont reçu leurs instructions sur YouTube, non ? Marc Lavoine semble lui aussi en pleine forme. S’il est en conflit, c’est à cause des exigences de son rôle.

Il endosse le rôle d’un prestigieux psychiatre qui a des penchants « borderline ». « Il semble que Marc Lavoine se soit coupé les cheveux alors qu’une cocotte-minute était encore sur le feu ».

Lors d’une interview accordée à TF1 Info, Marc Lavoine a évoqué son rôle dans l’émission.

Il l’a décrit en disant : « Le personnage est confronté à quelque chose de terrible, c’est vrai ; néanmoins, il parvient à garder son humanité grâce à son humour et à son honnêteté. » « Moi-même, j’ai passé la majeure partie de deux décennies à travailler avec des autistes.

Quand j’étais plus jeune, je vivais dans le même quartier qu’eux et je prenais souvent le bus avec eux.

J’avais une silhouette très lourde, je ne voulais pas converser, je n’appréciais pas le monde des adultes.