Suite à la main courante laissée par la femme d’Adrien Quatennens, une enquête a été ouverte. Malgré cela, elle souhaite ardemment que le contenu de ce récit reste caché, mais elle ne fonde pas ses espérances sur les agissements de Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur.

Le Parisien revient sur ce récit familial et vérifie qu’une enquête judiciaire a été ouverte pour des accusations de « violences par conjoint » par le parquet de Lille. L’enquête est menée par la ville française de Lille (Nord).

Elle a été ouverte à la suite d’une proposition déposée par l’épouse du législateur de la France insoumise Adrien Quatennens.

Céline Quatennens a déposé une main courante en précisant à la police qu’elle ne souhaitait pas porter plainte ou qu’il y ait des suites judiciaires à cette main courante et qu’elle exigeait que l’information ne finisse pas dans la presse. C’est ce qu’a expliqué le couple Quatennens dans un communiqué publié mardi sur les réseaux sociaux : « Suite à une dispute après avoir annoncé sa volonté de se séparer, Céline Quatennens a déposé une main courante ».

Suite aux conseils de Gérald Darmanin, ce conflit domestique a été pris en charge par la justice. L’explication a été fournie par le ministre de l’Intérieur lui-même dans les colonnes du Parisien.

Afin de lutter contre les féminicides, il a exprimé sa volonté de voir « mises hors la loi les mains courantes » et a encouragé tout policier ou gendarme ayant connaissance de soupçons de violences conjugales à porter plainte auprès du procureur de la République. De plus, il a souhaité voir « proscrites les mains courantes » afin de lutter contre les féminicides.