Florence Foresti a accepté de parler au micro de Télé Star de la maladie qui la ronge depuis sa petite enfance.

Florence Foresti mène un combat courageux contre une maladie rare. Mais cela ne l’empêche pas d’avoir une carrière professionnelle réussie. D’ailleurs, elle est tellement concentrée sur sa nouvelle série Désordres qu’elle a dévoilé des détails sur ce qui lui arrive. Voici quelques termes pour les moins émouvants.

Florence Foresti s’efforce d’aider ses semblables.

Florence Foresti, comme d’autres superstars nationales, évite de parler de sa vie privée. Pourtant, les obstacles qu’elle a rencontrés tout au long de sa vie lui ont servi de tremplin.

De plus, les maladies qu’elle a eues et qu’elle continue de vivre sont la motivation de sa série Désordres. Un projet que ses followers attendent avec impatience et qui sera diffusé très prochainement sur Canal+.

Néanmoins, Florence Foresti a su trouver le courage de parler de l’anxiété aiguë qui la ronge depuis son enfance. Ses découvertes ont été faites pour aider les personnes qui sont confrontées au même combat qu’elle.

« Peut-être que si je montre que j’ai parfois besoin d’antidépresseurs pour m’épanouir dans la vie, dit la comique, cela profiterait aux patients. » Ces déclarations ont touché une corde sensible chez le grand public. « Soyons indulgents avec nos maladies mentales ! » dit-elle.

Le métier salvateur de l’humoriste

Pour rappel, Florence Foresti a déjà évoqué ses épisodes de panique. Elle a déjà fait des affirmations similaires par le passé.

La plus récente a été faite il y a quelques semaines lors d’une interview accordée à Quotidien. L’humoriste avait alors déclaré qu’elle avait « envie d’en parler puisque c’est une maladie à laquelle beaucoup de gens sont confrontés. »

Le métier d’humoriste de Florence Foresti semble être celui qui lui a donné le plus de force mentale. Elle était infographiste avant de devenir célèbre. Son inquiétude permanente lui interdisait cependant de travailler.

C’est une confluence d’événements qui l’a amenée à la réponse idéale. « J’ai fait une crise de panique en me rendant à mon premier cours de théâtre. Mais lorsque le professeur m’a demandé de monter sur scène, l’attaque a cessé.