Après avoir dû attendre pendant des mois, Ary Abittan s’est retrouvé face à la personne qui l’avait accusé de violer et d’agresser sexuellement une autre personne. Et s’il pouvait compter son ancienne petite amie parmi ses amis, sa petite amie actuelle Sarah-Lin aurait fait profil bas. Elle aurait gardé ses distances par rapport à la situation.

Lors du face-à-face devant les juges, l’accusateur aurait décrit l’enchaînement des événements qui l’ont conduit à porter plainte, revenant notamment sur ce premier rapport consensuel et ce second « qui lui aurait alors été imposé. » L’accusateur aurait dit que le second rapport « lui aurait alors été imposé ». Selon les informations partagées avec le magazine Public par une source ayant une connaissance directe de l’enquête, il aurait affirmé qu’il ne l’avait pas contrainte.

La mère de ses trois enfants, Sylvie Journo, qui était auparavant mariée avec lui, l’aurait soutenu si elle avait été présente.

Selon l’un de ses proches, « elle a informé les enquêteurs qu’elle n’avait jamais observé ni entendu de comportement agressif de la part de son ex-conjoint », ce qu’elle avait déjà affirmé aux enquêteurs.

En revanche, si cette situation s’était produite, Ary Abittan aurait été mis à l’écart par Sarah-Line A, un entrepreneur avec lequel il a vécu sa vie pendant plusieurs années.

Non seulement parce qu’elle a été « trompée », mais aussi en raison des promesses qu’elle avait faites, elle se retrouverait dans une situation extrêmement embarrassante pour elle.

En fait, elle est membre de Handsaway, une organisation qui fait campagne contre les agressions sexuelles et sexistes.