Alexandra Lamy a mis à jour les informations de Guillaume Canet mais aussi de Vincent Cassel en utilisant la fonctionnalité de story sur Instagram.

L’actrice et le réalisateur ont tous deux abordé la nature de la critique sur leurs réseaux sociaux respectifs. Il s’agit plutôt d’une charge portée contre la publication « Le film français », qui était le premier hebdomadaire destiné aux professionnels de l’audiovisuel.

En première page, seuls des hommes « blancs » seraient affichés, et ils représenteraient la reconquête du cinéma français.

« Vraiment ? S’il n’y a pas de femmes, il n’y a pas de diversité ! Fantastique leçon ! Je tiens à exprimer ma gratitude au cinéma français pour l’éblouissante reconquête qu’il vient d’opérer  » ont exprimé leurs condoléances aux acteurs et à l’équipe de Touchées, qui vient d’être diffusé sur TF1.

Dans le cadre d’une interview accordée à Terrafemina, elle a condamné toutes les manifestations de sexisme et d’agressions sexuelles qui se produisent au sein de l’industrie cinématographique française.

« En particulier au début du mouvement #MeToo, je me suis retrouvée en froid avec quelques-uns de mes alliés. On me disait constamment : « Oh, ce n’est pas grave… » Oh mon Dieu ! Qui exactement a été tué en France ? Personne. Et pourtant, nous les connaissons tous. Il n’y a pas eu d’inquiétude de leur part, et la prescription les exonère même de toute responsabilité  » se désole Alexandra Lamy, actuellement mariée à l’entrepreneur à succès Pierre G.

« C’est insensé de vouloir aider les agresseurs jusqu’au bout ! Nous avons besoin de porte-paroles inébranlables qui ne lâcheront pas le contrôle du dossier. Sans cela, Harvey Weinstein n’aurait jamais été fait tomber »- je la cite.