Il existe de nombreuses fraudes visant à prendre de l’argent avec des cartes bancaires. Le « piège de Marseille » en est un exemple. Un Français de 41 ans, originaire de l’Ariège, a développé une expertise dans ce domaine. En utilisant cette méthode, il a réussi à détrousser 28 personnes.

Toutes ces arnaques au distributeur de billets datent d’hier ! Le fameux « piège marseillais » est un de ces stratagèmes qui semble faire un retour en force.

Un homme de 41 ans, spécialisé dans le vol de cartes bancaires, a volé 28 personnes en utilisant le stratagème du « collet marseillais ». Plusieurs personnes ont été la proie de cette terrifiante fraude au distributeur automatique de billets.

Une personne naïve peut craindre que sa carte bancaire ait été dévorée par le DAB si celui-ci refuse de la restituer après un échec. fait qu’il ait travaillé dans un bar donne le change.

Alors, dites-moi, qu’est-ce que cette escroquerie au collet marseillais ?

L’escroquerie qui porte ce nom fait des ravages depuis des années. Tout comme l’arnaque du « parcmètre », le « piège marseillais » consiste à voler les informations de la carte de crédit de la victime.

Un piège, souvent un simple ticket de métro, est placé sur les lecteurs de distributeurs automatiques de billets afin d’empêcher la lecture des cartes. Cette fraude est connue sous le nom de « piège de Marseille » car elle a été identifiée à l’origine dans cette ville.

Les voleurs et les forces de l’ordre connaissent bien le « piège marseillais ». Le but de cette astuce est de voler les informations de la carte bancaire de la victime et de les utiliser pour effectuer des achats.

L’expression « vol par ruse » décrit bien cette escroquerie. Pas de traitement irrespectueux ou offensant de la victime. Le vol se produit sans que la cible s’en aperçoive.

Dites-moi le mode opératoire des criminels.

Les voleurs utilisent la fente de la carte du DAB pour prendre la carte bancaire et le code PIN de la victime. La cible est la carte bancaire de la victime, qui sera bloquée.

En outre, les fraudeurs peuvent utiliser diverses méthodes pour voler le code PIN d’une carte bancaire. Ils peuvent notamment utiliser une caméra cachée à proximité du distributeur automatique de billets ou demander à la victime de saisir à nouveau son code. La carte du DAB ne peut pas être retirée car elle est bloquée par le carton. Après le départ de la victime, les escrocs reviennent et retirent la carte bancaire piégée.

La victime rentre chez elle après avoir retiré de l’argent à un distributeur automatique de billets, pour constater qu’il manque plusieurs milliers d’euros sur son compte lorsqu’elle vérifie son relevé quelques jours plus tard.
Il a tué 28 personnes.

L’escroc, un Ariégeois de 41 ans, a appris sa méthode apparemment infaillible grâce à un guide publié sur YouTube.
Dans cette vidéo, un internaute sans visage explique en détail comment vider les comptes bancaires de victimes peu méfiantes.

Cet Ariégeois de 41 ans a réussi à arnaquer un peu moins de 30 personnes à Toulouse, dans le Tarn, et à Pamiers, en Ariège, en reproduisant méticuleusement toutes les suggestions du youtuber.

Cet individu, qui compte 11 arrestations et condamnations à son actif, a méticuleusement préparé ses débuts à Toulouse début décembre 2019 en apprenant toutes les nuances de la fraude.

Il a introduit un papier portant l’emblème de la banque dans le lecteur de carte d’un distributeur, puis a collé un autocollant dessus. « Si la carte d’un client est aspirée, il lui sera demandé de réciter son code secret sur une étiquette ». C’est quelque chose qu’il perd à jamais » comme le rapporte La Dépêche.

Dix mille euros volés en un seul mois via une fraude.

Lorsque la malheureuse victime a finalement quitté le bâtiment, vaincue, il s’est jeté sur elle.

L’escroc est en effet revenu, armé cette fois d’un rouleau de ruban adhésif très fin. Ainsi, la carte bancaire a été récupérée dans le distributeur automatique en quelques minutes.

Grâce à cette stratégie, il a pu dépenser plus de 10 000 € en un seul mois.

La police a localisé l’homme à son domicile de Pamiers et l’a arrêté à l’aide des images de vidéosurveillance. Par conséquent, le canular a finalement été démasqué au cours de la nouvelle année 2020.

L’homme de 40 ans a avoué tous les faits qui lui sont reprochés et sera jugé au tribunal correctionnel de Toulouse le 26 novembre.