Dans le neuvième épisode de « L’Amour est dans le pré« , Alain Le Breton a fourni une drôle d’excuse pour refuser Catherine, l’une de ses prétendantes potentielles. Catherine était l’une des prétendantes potentielles d’Alain. Catherine était pour lui une partenaire potentielle à poursuivre. Il a décidé qu’il ne voulait pas continuer l’aventure avec elle à cause de tous les tatouages qu’elle portait.
Les fans de la série, qui ne doutaient pas que le fermier finirait seul, surtout après avoir fait pression sur Marie-Ange, sa deuxième prétendante, ont été laissés perplexes par cette explication. Les fans de la série n’avaient aucun doute sur le fait que le fermier finirait seul. Il n’y a aucun doute sur le fait que le fermier se retrouvera seul à la fin.
Les gens ont une opinion négative de lui à cause de son comportement, et ils le considèrent comme dur.
L’une des personnes présentes dans la foule a exprimé son point de vue en déclarant : « Je trouve terriblement méchant la façon dont il lui a dit, aucun respect, surtout compte tenu de la raison d’être du tatouage, qui n’est pas du tout ce qu’il a dit auparavant. »
Les tatouages ont pu être vus grâce aux images d’accompagnement qu’il a envoyées avec sa demande.
« Pour vous dire la vérité, je n’avais aucune idée que les tatouages étaient même une chose.
Peuvent être tout aussi répugnants, surtout pour une personne comme elle ! !! Pour résumer, elle ne s’est privée de rien », a fait remarquer un deuxième admirateur, qui se sentait triste pour Catherine puisqu’elle n’était peut-être pas heureuse avec le fermier dont le comportement de goujat a été condamné. Cet admirateur pensait que Catherine n’était peut-être pas ravie du fermier.
J’ai constaté que cette année, il y a beaucoup de goujats, et Alain est le chef de meute ! !! Le fait que certains individus soient récemment passés à la télévision amplifie le fait qu’ils manquent de tact, de sensibilité et d’étiquette dans leur comportement.
Il y a des gens qui pensent qu’Alain le Breton finira par se retrouver tout seul.
