Si Camille Lellouche n’a pu véritablement surmonter la dépression post-partum, c’est grâce à son bien-aimé, Faycal, qui est le père de sa fille Alma, contrairement à ce que croit le public. Faycal est le père de la fille de Camille Lellouche, Alma. Dans sa nouvelle émission, elle évoquera les petits soucis qu’elle a.

« La dépression post-partum ? Camille n’y pense même pas lorsqu’elle est avec son amant, qui est aussi le père de sa fille Alma », affirme-t-on dans le numéro de Public magazine de cette semaine.

L’identification de Faycal, le manager d’un célèbre boxeur, comme étant le père biologique de la fille de Camille Lellouche a été confirmée par un hebdomadaire comme étant de notoriété publique. De plus, elle va l’accompagner lors de sa prochaine tournée.

Dans l’épisode de La boite à Questions diffusé sur TF1, la chanteuse et humoriste évoque certains des soucis qu’elle a eus en tant que jeune maman. Plus précisément, elle est interrogée sur la raison pour laquelle elle a parlé de la dépression post-partum sur les réseaux sociaux.

« En toute honnêteté, je n’ai même pas pris la peine de me poser cette question. Je me suis dit. Nous vivons dans une période où il y a beaucoup d’influenceurs et d’influenceuses ; certains sont fantastiques, tandis que d’autres sont abusifs et mentent totalement à leurs followers. Si certains influenceurs sont formidables, d’autres ne le sont pas.

Le monde dans lequel nous vivons est truffé de tellement de problèmes que nous n’avons pas d’autre choix que de commencer à être plus directs avec les gens et à les rassurer, en particulier la jeune génération qui est à l’aube de l’âge adulte. Mais quand on vient d’accoucher, il est indispensable d’en parler pour être sincère » – je la cite.

 » Et encore une fois, je n’ai pas pris de photo de l’accouchement de mon enfant. Je suis enragée, j’ai un bouton de fièvre comme ça. D’ailleurs, je suis encore dans la phase post-partum en ce moment.

Pour résumer, j’utilise les serviettes de ma grand-mère, et comme toutes les autres mères, je subis un effondrement hormonal. Pour le dire simplement, je n’ai aucune raison de sangloter. En effet, c’est le cas. Nous ne soulignons pas assez à quel point notre travail est difficile et éprouvant, mais c’est « elle l’a avoué ».