Dans sa confession, Nathalie Baye s’ouvre sur l’effroyable maladie qui l’a enfermée si longtemps.

Il est parfois difficile pour le reste d’entre nous de comprendre le vécu de ceux qui souffrent de phobies. Néanmoins, leur détresse continue. Ces personnes ont vraiment besoin d’aide en ce moment. C’est aujourd’hui que nous en parlons ! Les nombreuses phobies qui touchent des milliers de citoyens français, jeunes et moins jeunes. Par exemple, la claustrophobie de Nathalie Baye est tellement présente dans son quotidien qu’elle la tue.

La peur des espaces clos, ou claustrophobie, est un trouble médical très répandu.

Qui d’entre nous n’a pas entendu parler de la claustrophobie (la peur des espaces clos) ? Nous nous disons sans cesse qu’il s’agit d’une maladie mentale insidieuse. Au contraire, il s’agit d’une maladie bien réelle qui nécessite un traitement. Dans ses propres mots, Nathalie Baye dit qu’elle est confrontée à ce problème depuis longtemps. C’était celui de son père, et elle en a hérité. Elle aussi se soigne depuis longtemps, mais elle n’arrive toujours pas à atteindre son but.

On ne sait toujours pas s’il existe une thérapie qui fonctionne ou non. La plupart des patients atteints de la maladie d’Alzheimer demandent l’aide de psychanalystes dans l’espoir de trouver un remède.
Comment elle y parvient, selon Nathalie Baye.

Malgré les affirmations contraires de Nathalie Baye, elle continue de souffrir de sa peur. Elle essaie de se tenir à l’écart des lieux confinés. Elle a dit à ses collègues, en privé, qu’elle avait l’impression d’être dans un cercueil vertical lorsqu’elle devait attendre un ascenseur.

Elle a également dit qu’elle préfère utiliser la cage d’escalier plutôt que l’ascenseur pour se rendre au bureau de son psychanalyste, qui se trouve au dixième étage d’un immeuble. Cependant, il semble que Nathalie Baye soit en mesure de surmonter son état. Elle a recours à un procédé peu conventionnel. Elle y parvient. Pour se libérer, elle a recours à l’hypnose. Elle va jusqu’à dire qu’elle veut débarrasser définitivement le monde de cette terrible maladie.