En quelques années seulement, le chauffeur Uber est devenu un rival redoutable pour l’industrie du taxi. Mais en 2023, leurs prix vont monter en flèche.

De nombreuses personnes font aujourd’hui appel aux VTC lorsqu’elles doivent se rendre à l’aéroport ou faire un trajet tard dans la nuit. Ils sont censés être plus rentables que les taxis et offrir un trajet pratique. Prenez un Uber, un Bolt ou un Heetch… Certaines personnes utilisent souvent ces applications. Cependant, vous risquez de constater que vos frais de déplacement augmentent en même temps que le prix de l’essence. Dans quel but ? Le paiement minimum actuel est de 9 euros. La réunion de la technologie de la réalité virtuelle et de l’innovation des plateformes est le moteur de ce changement. Cela équivaut à 7,65 euros TTC du côté professionnel. Il est important de rappeler que les sites facturent des frais.

Descendre en dessous de 9 euros dans un Uber signifie la fin de la course.

Avant cela, il était encore possible de localiser des courses pour 4 ou 5 euros. Surtout pour les trajets courts. Triste nouvelle pour beaucoup qui posaient leur téléphone pour se détendre à la maison. Cependant, les chauffeurs de VTC ont fait pression pour obtenir un forfait de 9 euros suite à un problème prolongé de COVID. Leur préoccupation première est de survivre.

Il est compréhensible qu’Uber augmente ses prix face à l’inflation record et à la hausse du prix de l’essence. Déception de la part des consommateurs qui avaient choisi le VTC comme moyen d’éviter les prix souvent exorbitants des taxis. La vérité est que l’utilisation d’une application n’est pas toujours plus intéressante que de prendre un taxi ordinaire. C’est dans leur structure tarifaire directe qu’ils brillent vraiment. Ainsi, vous n’aurez pas à vous soucier de dépenses imprévues ou de désagréments à la fin de vos vacances.

Ils veulent des droits supplémentaires en tant que chauffeurs de plateforme

Jusqu’à présent, tous les chauffeurs de VTC étaient des entrepreneurs indépendants. Ils ont obtenu des emplois en tant qu’entrepreneurs indépendants pour des entreprises comme Uber. D’un autre côté, ils peuvent exiger un salaire plus élevé à la lumière de la situation actuelle. Pour l’instant, nous prenons les 7,65 euros, mais nous ne nous arrêterons pas là ; dans les prochains mois, nous reviendrons à la charge pour continuer à parler de l’augmentation de notre salaire.

C’est pourquoi le groupe VTC cherche à faire valoir des arguments alternatifs. Pour l’instant, surtout, il n’y a pas de compensation pour le temps passé à approcher. « Nous avons perdu la première guerre, celle du tarif minimum, mais nous allons continuer à nous battre ! Les plateformes doivent prendre conscience qu’elles ne peuvent pas continuer à faire ce qu’elles veulent. Il faut parfois plus de temps pour aller chercher le passager que pour le laisser à son lieu de dépose. »