Dans sa prochaine autobiographie, qui s’intitule Spare et qui sortira le 10 janvier, le prince Harry révèle beaucoup d’informations personnelles. Il y évoque sa relation avec Chelsy Davy, mettant Meghan Markle en danger de s’offusquer des commentaires qu’il fait.

The New Idea rapportait au printemps 2018 que la duchesse de Sussex « était » gênée par la proximité entre son mari et Chelsy Davy, dont il était divorcé depuis 2011.

Il a été affirmé que l’héritier des Windsor a cherché à s’adresser à des personnes qui lui sont proches, dont Chelsy, pour qu’elle parle à J.R. Moehringer, l’auteur de sa biographie Spare, et se confie à lui.

Selon un proche du prince, « ils ont tous réagi gentiment à son égard, ont promis d’y réfléchir, et au final, ils ont tous dit non. » Meghan Markle, en revanche, « était bouleversée quand elle a appris qu’il avait parlé avec Chelsy ».

Et cette intimité est corroborée par le prince Harry dans son livre, dont des passages ont été dévoilés par la presse britannique. Chelsy Davy, « contrairement à d’autres femmes », n’a pas eu le « syndrome du trône », comme le prince Harry l’a révélé au public dans la déclaration.

Elle était différente de tant d’autres femmes que j’avais rencontrées car dès qu’elle m’a serré la main, elle a imaginé à quoi ressemblerait la couronne », avait-il écrit. Il s’imaginait fonder une famille avec elle.

Les proches de la famille royale ont été surpris d’entendre l’expression « syndrome du trône ». Il semble que le prince Harry ait eu l’impression qu’il succéderait à son frère William en tant que souverain. Il est probable que dans sa jeunesse, il l’ait entendu régulièrement de la bouche de sa mère. Il est dit qu’elle disait aux autres « Il fera un bon roi ».